Dans deux de mes billets pour le cours, je me posais la
question à savoir si les médias traditionnels pourraient un jour être remplacés
par les réseaux sociaux. J’ai d’abord
commencé par la comparaison avec les blogs et ensuite avec les médias sociaux
en général. Cette comparaison à
commencer il y a déjà quelques années avec l’arrivé de l’internet, ZDnet en a
fait un
article
en aout 2000. Bien avant l’arrivée de facebook
ou de twitter, les années 2000 sont les années où toutes les entreprises
croyaient qu’ils devaient être sur internet, où n’importe qui avec une bonne idée
pouvait devenir millionnaire sur internet.
Dans cet article, l’auteur ne croit pas que l’internet pourrait
remplacer les médias traditionnels. Que
l’internet est un outil pour les gens avec des moyens.
Les nouvelles ont toujours été autour de nous à chaque
moment de notre vie, que ce soit par la radio, la télévision ou les journaux,
nous avions déjà accès à l’information, même avant l’internet. L’internet a changé une chose, la rapidité à
laquelle l’information est rafraichie, mais en 2000, les pages étaient encore
très statiques, seul les entreprises avaient les moyens d’avoir des sites
dynamique qui changeait rapidement, mais maintenant, tout est dynamique sur
internet et disponible sur nos téléphone.
Nous pouvons donc très rapidement savoir ce qui se passe autour du
monde.
Histoire de la nouvelle sur internet
L’
histoire
de l’internet peut être très intéressante.
Au départ, l’internet n’était que pour la recherche et le gouvernement a
rapidement voulu participer. Son évolution a été fulgurante. Un outil de transfert et de partage
d’information. Vers 1995, quand
l’internet a commencé à être popularisé vers le publique il est vite devenu un
outil de communication avec IRC, et les premiers programmes de e-mail sur le
web.
Les blogs comme
source d’information
Le terme « weblogs » est apparu en 1997 et a ainsi
donné le pouvoir au publique pour publier l’information comme il le veut. Les outils d’auto publication rendaient la
création de ces blogues si simple qu’ils se sont multipliés rapidement et
étaient surtout l’œuvre d’une personne qui désirait donner son opinion sur
divers sujets. Dans mon
billet,
je me demandais si les blogs pouvaient remplacer les médias traditionnels.
Les blogues ressemblaient beaucoup à des colonnes ou des
éditoriaux dans les journaux avec beaucoup de subjectivité. La question se posait : « était-il
mieux d’avoir une nouvelle que nous savions subjective comme le blogue ou une
nouvelle qui se disait objective, mais qui devait passer à travers un filtre
établit par les réseaux de nouvelles et les dirigeants de ces médias et qui
pouvaient, jusqu’à un certains point, contrôler ce qui pouvait sortir au publique
ou non? »
Comme l’indique le
matériel
du cours, les blogues sont rapidement devenus un lieu d’échange sur plusieurs
sujets dont l’actualité. Les gens
pouvaient aller voir une vision de l’actualité qui était subjective et qui ne
s’en cachait pas. Il est bien d’voir les
faits quand on regarde une nouvelle sur les médias traditionnels, mais si on
aimerait savoir ce que les gens en pensent, il est intéressant d’avoir un
endroit où se retrouver pour discuter d’un sujet. On peut lire les pensées de l’auteur et
échanger, on a l’impression de participer à la nouvelle. Je suis convaincu que c’est ce côté
participatif qui a rendu les blogues si populaires. Un peu comme une ligne d’appel à la radio,
mais où on est sûr d’avoir la parole.
L’internet comme
source pour les nouvelles
En 1998, la première nouvelle importante à sortir sur
internet avant les medias de masse était sur le scandale entre le président
Clinton et Monica Lewinsky sur le site
drudgereport
pendant que News Week avait refusé de la publier. Cette nouvelle annonçait à tous que
l’internet ne suivait pas les normes journalistiques des grands médias. Selon cet
article, cette nouvelle a aussi aidé
à lancer internet. En 1997 seulement 37% du publique utilisait internet et en
1999 ce nombre passait à 50%.
Avec cet intérêt pour les nouvelles sur internet est aussi
venu le questionnement sur la vérification et la précision des informations sur
internet qui souvent saute certaines étapes pour pouvoir fournir l’information
plus rapidement. La rapidité à laquelle la
nouvelle sort est souvent un avantage dans ce domaine et cet évènement peut
servir comme exemple pour les cours de journalisme sur la pression de sortir la
nouvelle en premier et la véracité de la nouvelle.
Cette période a été énorme pour l’internet avec l’arrivé de
Google, Napster et des milliers d’entreprises qui voulaient avoir la prochaine
super idée qui leur permettrait de devenir millionnaire de l’internet. Toutes les entreprises croyaient qu’elles
devaient être sur internet ou mourir.
Les médias ne faisaient pas exception et je crois que c’était encore
plus vrai pour eux.
L’internet a eu une progression très importante depuis ses
débuts. Pew envoie un
sondage
à chaque année pour connaitre la source principal des nouvelles nationales et
internationales pour les Américains.
Selon cet
article
de CNS news, l’internet est apparu en
1999 avec 6% et en seulement 14 ans est maintenant rendu avec 43%. Quel est la raison de cet engouement? Le fait que la nouvelle est disponible à tout
moment? Le côté participatif de la
nouvelle sur internet? Le volume
important d’opinion sur les différents sujets?
Ce
travail
universitaire représente bien la différence entre les priorités des nouvelles
sur internet et les nouvelles dans les journaux. Comme l’information est disponible plus
rapidement sur internet, les compagnies peuvent utiliser leur version web pour
voir ce qui semble être le plus important pour leurs clients, ce qui pourrait
déterminer l’ordre d’apparition dans les journaux le lendemain.
Le web social et le
web 2.0
En 2004, l’internet est devenu beaucoup plus social et
dynamique avec l’arrivée du web 2.0 qui a rendu les nouvelles plus interactives
sur internet. Maintenant, le médium
n’était plus simplement à sens unique, nous ne faisions plus simplement lire
les nouvelles, les lecteurs pouvaient y participer. L’internet contient tellement d’information,
le public était habitué d’avoir les nouvelles priorisées et édité avant de lui
être distribué par les canaux traditionnels, sur internet on avait une
multitude d’informations avec différents points de vue. Par contre, il n’est pas toujours simple de
retrouver les nouvelles et les points de vue qui nous intéressent, comment
gérer toute cette information.
Avec l’arrivée du web social et le web 2.0, nous pouvions
facilement partager avec nos amis les informations qui nous intéressaient. On pouvait commencer à partager et organiser
l’information de la façon qui nous tentait avec des sites comme digg. Ce site donnait l’occasion au public de
décider de l’information qui l’intéressait plutôt que de laisser les grandes
corporations déterminer ce qu’ils voulaient nous donner. En plus, ce site permettait de changer la
façon dont nous cherchions les nouvelles, les lecteurs pouvaient eux-mêmes
déterminer les termes qui étaient associés à la nouvelle.
À partir de ce moment, nous n’avions plus nécessairement
besoin de chercher les nouvelles qui pourraient nous intéresser, mais les gens
autour de nous commençaient à partager les nouvelles qu’ils avaient trouvées
intéressantes. De plus, on pouvait
maintenant découvrir des sites qui nous étaient inconnus avant.
En combinaison avec les agrégateurs de nouvelles qui nous
permettaient de recevoir seulement les nouvelles qui nous intéressaient, de nos
sites préférés à l’intérieur d’une seule page, c’était comme avoir nos 3
journaux préférés avec 2 magazines à l’intérieur d’un seul contenant. Dans un monde où le temps est de l’argent et
que nous voulons ce que nous voulons maintenant et personnalisé pour nous, ces
options étaient très appréciées.
Twitter
Twitter est apparu en 2006 comme un service de réseau social
et de micro-blogue qui permet d’écrire de petits messages de 140 caractères que
les gens qui nous suivent peuvent lire.
Sa popularité a été fulgurante, comme l’explique
wikipedia, il est devenu
rapidement un des 10 sites les plus populaire de l’internet et Twitter est
devenu le SMS de l’internet. Plusieurs
personnes se demandaient l’utilité d’un service comme celui-là après Facebook,
mais le contenu des tweets s’est stabilisé pour obtenir environ 85% de contenu
personnel, 4% de spam, 6% de promotions et 4% de nouvelles et c’est ce 4% qui
nous intéresse. L’impact de Twitter sur
les nouvelles a été énorme.
Le site
TechRadar
donne la liste des 10 nouvelles qui sont sorti sur Twitter avant de sortir dans
les nouvelles traditionnelles. Les plus
intéressantes selon moi seraient :
- L’atterrissage d’urgence d’un avion à New York
sur le Hudson est sorti au moins 15 minutes sur Twitter avant d’être sortit
dans les nouvelles, complémenté d’une photo.
- Les tremblements de terres en Chine où la
nouvelle est apparue sur Twitter au moins 1 heure avant que les médias comme
CNN n’en parlent. C’était une nouvelle internationale
majeure pour ce tremblement de terre qui a tué plus de 68000 personnes
- La mort de Michael Jackson qui n’a pas été
nécessairement publié d’abord sur Twitter, mais TMZ l’a publié basé sur des rumeurs
de témoins sur place qui envoyait des Tweet en même temps. La mort de cet artiste a compté pour près de
30% du trafic de Twitter qui transige prêt de 65 millions de tweets par jour.
On peut aussi compter toute l’information qui nous est
parvenu du moyen orient tout au long des différentes manifestations à travers
cette partie du monde. Les manifestants
dans plusieurs cas n’avaient que ce moyen pour laisser savoir ce qui se passait
dans leur pays à cause des gouvernements qui contrôlaient les médias traditionnels.
Plusieurs réseaux de nouvelles à la télévision ont d’ailleurs
commencé depuis quelques années à intégrer Twitter dans leurs programmes pour
connaitre en temps réel l’opinion de leur auditoire durant la lecture des
nouvelles. Ce qui permet d’avoir un
niveau d’interactivité dans un modèle d’émission qui était souvent à sens
unique.
L’effet de l’internet
et des réseaux sociaux actuellement
On l’observe de plus en plus, l’internet et les médias
sociaux ont fait mal aux différents médias traditionnels. Que ce soit la télé, les journaux ou la
radio, chaque média y voit un impact.
Certains ont réussi à l’intégrer dans ses opérations, d’autres tentent
de se battre contre son évolution.
Plusieurs journaux ont dû fermer leurs portes et ceux qui restent
doivent trouver des moyens pour composer avec cette nouvelle réalité. Les problèmes qu’ils doivent gérer sont en 2
volets selon moi, il y a l’auditoire qui migre vers l’internet et les médias
sociaux pour leurs nouvelles. Pour ceux
qui arrivent à garder leur auditoire en offrant une version électronique de
leurs nouvelles, le problème est que les revenus de cette version sont beaucoup
plus bas, selon
newspaperdeathwatch.com
pour chaque 16$ de revenu de publicité perdu par la version papier la version
digitale gagne 1$.
L’impact a été un peu moins sentit au niveau de la radio,
car la radio internet demande une connexion internet mobile pour pouvoir y
accéder et elle doit être constante. L’internet
n’est pas encore bien intégré dans les systèmes de son ou les automobiles, les
2 endroits où on écoute encore souvent de la musique. De plus, comme l’indique cet
article
les radios internet ont plus de misère avec leurs profits, à cause des frais de
redevances. De plus, la radio est
souvent plus axée sur la musique que les nouvelles et l’intérêt de la radio
internet est surtout pour un service sans interruption et comme le service peut
être écouté partout à travers le monde, les nouvelles locales font moins de
sens.
Au niveau de la télévision, encore une fois les frais d’opération
d’un plateau de tournage pour des nouvelles sur internet sont assez élevés que
ce média n’est pas encore en danger par une option valable sur internet. On dirait plutôt que les réseaux de
télévisions ont intégré les nouvelles technologies pour rendre leur nouvelles
plus interactives et plus prêts de leur auditoire. Ils utilisent Twitter et Facebook pour avoir
l’opinion des téléspectateurs, youtube pour voir les vidéos des gens qui ont
filmé des moments marquants à travers le monde.
Journalistes en herbe
Les téléphones intelligents ont permis à tout le monde de
pouvoir consommer leurs nouvelles un peu partout, mais aussi de devenir des
journalistes en herbes qui peuvent avec un clic témoigner de ce qu’ils voient. Les téléphones ont tous des caméras pour
filmer ou prendre des photos avec un accès à internet qui leur permet de
partager ce qu’ils voient. Ainsi, les
nouvelles deviennent un peu plus locales.
Les réseaux n’ont plus besoin d’envoyer une équipe dans tous les coins
du pays ou ils peuvent être les premiers à sortir la nouvelle avec l’aide de
leur auditoire au lieu de perdre le scoop sur internet.
Le futur de la nouvelle sur internet
Comme l’indique cet
article,
il s’agit simplement de voir la tendance qui a déjà commencé depuis les
dernières années. Le nombre d’usager Facebook
augmente sans cesse d’année en année, le nombre d’appareils mobiles, comme les
tablettes ont doublé d’année en année. On
remarque rapidement que les livres et
les magazines deviennent digitales et sont offert sur les tablettes et les
téléphones. Les grands journaux ont
presque tous une branche digitale qui nous permettent de lire les mêmes
nouvelles que l’on trouve dans nos journaux le matin, sur tous nos appareils
connecté sur internet. Alors que se
passera-t-il quand tout sera connecté à l’internet? Quel sont les possibilités?
1 an
Pour la prochaine année, la tendance devrait se maintenir,
les nouvelles internet ont
récemment
dépassées les journaux et avec internet qui devient de plus en plus accessible
pour tout le monde et tous nos appareils qui deviennent connecté à internet. Les gens commencent maintenant leur visite
sur internet par les sites de réseaux sociaux plutôt que par les sites de
recherches ou les portails de nouvelles, les médias travaillent donc à raffiner
leur stratégie pour utiliser les médias sociaux au maximum et ainsi transférer
les usagers vers leur site.
La tendance des journaux qui résiste l’internet et qui
finissent par fermer va s’accélérer et la fusion les médias traditionnels et de
l’internet va s’accélérer. Avec l’internet
qui deviens de plus en plus mobile, l’internet doit faire partit de la
stratégie des médias.
Dans le début des années 2000, on partageait nos nouvelles
par des « tags » et on partageait nos favoris avec des sites
spécialisés. On regroupait nos nouvelles
avec des agrégateurs, mais maintenant, si on veut partager une information
intéressante comme les nouvelles, tout passe par Facebook ou Twitter. Par contre, pour être au courant des
nouvelles on devait encore les voir basé sur l’ordre d’importance que le média
avait établi. Dans la prochaine année, l’auditoire
va avoir de plus en plus de poids sur l’ordre des nouvelles qui nous serons
présentées. S’abonner à la page sociale de
son site de nouvelles préférés permet de recevoir les nouvelles les plus
populaires dans son fil de nouvelles et ainsi sélectionner celles qui nous
accrochent.
Les blogs qui semblaient être un peu les rebelles du monde
journalistique sont de plus en plus intégrés aux grands sites pour donner un
côté subjectif (éditorial) à nos nouvelles tout en gardant le côté professionnel,
validé et vérifié des nouvelles traditionnelles.
5 ans
Nous voyons déjà beaucoup d’appareils avec internet, mais
surtout pour des appareils mobiles comme les lecteurs mp3, les téléphones
mobiles et le tout sans fil. Dans 5 ans,
je vois tous nos appareils connecté à internet : réfrigérateur, télés,
radio réveil matin et même nos
miroirs
qui pourront, en étant connecté à internet, nous donner nos nouvelles (télé ou
journaux), notre fil de nouvelles Facebook tout en se préparant le matin. Si on peut avoir nos nouvelles aussi
simplement, pourquoi on aurait besoin d’un journal ou d’ouvrir la télévision
pour écouter nos nouvelles à heure fixe plutôt que quand on les veut?
Si on se fie à
wikipedia,
le e-paper qu’on a vu dans le film
Minority Report
pourrait devenir réalité en 2015. Si c’est
le cas, pourquoi on voudrait un journal en papier qu’on doit jeter et qui donne
des nouvelles statiques quand on peut avoir un journal qui comme dans le film
est dynamique et qui se met à jour avec les dernières nouvelles et on peut
intégrer des vidéos en plus des images et ce qui se passe avec nos amis en même
temps.
Les médias papiers devront donc avoir trouvé un moyen de
profiter du monde digital, ceux qui auront résisté vont tout perdre. Ils commencent à intégrer les médias sociaux
dans leurs processus existant et tentent différentes expériences avec ces technologies,
dans 5 ans, ils auront trouvé une balance pour rendre les médias existants
beaucoup plus interactifs et ainsi pouvoir mouler leurs programmes sur la
volonté de l’auditoire.
20 ans
Comme l’explique Steve Outing dans son
article,
il a plusieurs excellentes idées sur ce que le futur pourrait nous
apporter. Dans 20 ans, un peu comme pour
la téléphonie, les canaux de diffusions passeront tous par internet ou la
technologie qui l’aura remplacée. Que ce
soit pour la radio, la télévision et les journaux, tous ces médias passeront
par internet qui sera disponible partout à la maison ou sur la route. Il n’y aura donc plus de média traditionnel,
tout sera intégré. Nous serons connectés
en permanence, l’internet sera partout.
Des implants peut-être? Ce qui
nous obligera à avoir une identité permanente sur internet. Un compte sécurisé qui nous permettra d’accéder
l’information des différents sites qui nous intéresse.
De plus, ce médium permettra d’avoir une communication à 2
sens et nous pourrons très facilement partager nos impressions avec nos amis
sur tout ce qui sera transmis par internet.
Les nouvelles seront disponible en direct à tous moments ou sur demande. L’ordre dans lequel elles me seront présentées
aura rapport avec nos intérêts et ce que nos amis ont lu et ont apprécié. Le bouton “J’aime” évoluera pour nous
permettre de donner un classement à chaque page, nouvelle, musique ou
vidéo. Toute cette information nous
permettra d’avoir des recommandations sur tout ce qui pourrait nous intéresser,
comme il y aura un seul profil, chaque site aura notre historique ainsi que ce
que nos amis ont appréciés et le site pourra automatiquement nous proposer l’information
qu’on recherche.
On dit souvent que les blogues et les nouvelles sur internet
sortent si vite que la validité d’un article est difficile à évaluer. Le volume d’information serait tellement
immense qu’il nous faudra absolument un moyen de classer toute cette
information pour ne pas s’y perdre. D’ici
20 ans un système d’évaluation des nouvelles pourrait voir le jour. Ce système serait nourrit par différentes
sources : les autres nouvelles, l’appréciation et la vérification des auditeurs. Le système pourra évaluer les erreurs ou
différences avec les autres nouvelles qui parlent du même sujet. Ainsi, chaque nouvelle aura une évaluation
disponible ce qui nous permettra d’avoir les nouvelles les plus valides apparaitre
en premier.
Conclusion
L’historique des derniers 20 ans, nous démontre déjà la
tendance pour l’intégration des médias traditionnels avec les nouvelles
technologies et les médias sociaux. Je
crois que pour les prochaines décennies la tendance va simplement s’accentuer
et l’internet va englober toutes les sources d’informations comme elle commence
à le faire pour les livres, la musique et les vidéos.
Il y a juste 5 ans, les nouvelles étaient simplement à sens
unique, mais avec le côté social, les nouvelles pourront faire ressortir la
communication à deux sens et avec l’intégration aux nouvelles qui nous viennent
de nos amis nous aurons toute l’information qui nous intéresse personnellement plutôt
que ce que vice-président d’une entreprise de média croit que je devrais aimer. L’information deviendra donc beaucoup plus interactive
et étant digitale, elle pourra être validé automatiquement par la comparaison
avec d’autres sources sur le même sujet.
Ainsi, la qualité de l’information que nous recevons pourra continuer à
s’améliorer et se personnaliser.